C'est une bonne description: un froid glacial intersidéral, un grand trou noir (le podium) attirant toute la matière vivante, et quelques exposants naufragés errant sur les épaves de leurs stands... Et encore, Benoît ne vous a pas parlé du raffût épouvantable (ils ont doublé le volume des hauts-parleurs entre le samedi et le dimanche): même si nous avions eu du public, il aurait été impossible de faire des parties le second jour.

Enfin, nous avons tenu le coup, amélioré notre présentation de stand, et rencontré un peu de monde. Au Salon du Livre, il n'y aura pas le temps de faire des parties, alors il faudra jouer beaucoup plus sur l'aspect lecture: quelques grandes affiches avec une illustration et un extrait de nouvelle sur chaque, peut-être des lectures à haute voix si quelqu'un se sent capable.